Artnewspress: C’est la plus célèbre réplique de la saga Star Wars, et pourtant, la majorité des spectateurs se trompe à son sujet.
La scène se déroule à la fin de L’Empire contre-attaque, deuxième long métrage de la saga Star Wars réalisé par Irvin Kershner en 1980.
Espérant trouver refuge auprès de Lando Calrissian sur la planète Bespin, Leia, Han Solo, Chewbacca et C-3PO sont pris en embuscade par les troupes impériales. Volant à leur secours, Luke se retrouve soudain seul face au redoutable Dark Vador, dans les entrailles de la Cité des Nuages. Alors qu’il l’avait déjà affronté à bord de son X-Wing à la fin de l’épisode précédent, le Jedi en herbe dégaine pour la première fois son sabre laser face à son ennemi juré.
Le duel est impitoyable, et les deux adversaires ne retiennent pas leurs attaques. Mais c’est à la fin de la confrontation, après lui avoir tranché la main, que Vador assène à Luke son coup le plus terrible en lui décochant non pas une estocade, mais une simple réplique, qui résonne encore 40 ans après dans les souvenirs de tous les spectateurs.
“Luke, je suis ton père.”
Vraiment ? Vous êtes sûrs et certains d’avoir entendu ces mots-là en découvrant L’Empire contre-attaque au cinéma ? Eh bien, ce n’est pas le cas ! Contrairement à ce qu’on peut entendre dans la plupart des parodies ou des détournements, ou bien chaque fois qu’un fan cite la fameuse petite phrase, Vador ne prononce absolument pas le prénom de son fils lorsqu’il lui apprend qu’il est son père.
La véritable réplique est donc la suivante :
“Non. Je suis ton père.”
Sans doute est-ce dû à la surprise et à la puissance émotionnelle suscitée par la célèbre scène, mais il semble que la mémoire de tous les spectateurs leur fasse défaut lorsqu’il s’agit de restituer précisément ces quelques mots pourtant mythiques.
A l’instar de la célèbre réplique déclamée par Leonardo DiCaprio au début de Titanic, celle-ci est donc à ranger parmi les grandes phrases du cinéma que personne ne prononce jamais correctement.
(Re)découvrez tous les détails cachés de “L’Empire contre-attaque”…
