Saturday, May 4, 2024
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Alors que sa deuxième aventure solo est rediffusée sur TF1, quel est l’avenir d’Iron Man dans le Marvel Cinematic Universe ? Peut-on espérer le revoir, sous les traits de Robert Downey Jr. ou d’un autre comédien ? “Et moi je suis Iron Man” : c’est avec ces mots, qui bouclaient la boucle en faisant écho à la toute dernière réplique de sa première aventure solo, sortie onze ans plus tôt, que Robert Downey Jr. faisait ses adieux au Marvel Cinematic Universe en sacrifiant son personnage de Tony Stark à la fin d’Avengers Endgame. Un long métrage qui, en l’espace de quelques minutes, faisait perdre aux Avengers ses leaders (Tony Stark et Steve Rogers), et au MCU deux de ses personnages les plus intéressants, à qui il avait su offrir de vrais arcs narratifs. Mais leurs départs sont-ils vraiment définitifs ? Ce dimanche 16 avril, TF1 rediffuse Iron Man 2. Il s’agit certes du plus faible des trois opus de sa trilogie, et Robert Downey Jr. avait reconnu, à notre micro, que le film avait été fait dans la précipitation. Malgré ses nombreux défauts et ses méchants sous-exploités, son nouveau passage à la télévision permet de mesurer le poids de son absence dans un univers qui peine à repartir de l’avant. Et qui, multivers oblige, pourrait facilement trouver des solutions pour le faire revenir d’une manière ou d’une autre. Sous la forme d’un variant par exemple. Interprété par Robert Downey Jr. ou un autre acteur, comme le promettaient les scoopers affirmant que Tom Cruise avait tourné un caméo dans l’armure d’un Iron Man alternatif pour les besoins de Doctor Strange in the Multiverse of Madness, ce qui était totalement faux. Il a depuis été annoncé que le sixième Avengers s’inspirerait de l’événement Secret Wars, qui fait entrer plusieurs univers en collision et multiplie les possibilités scénaristiques pour faire revenir des personnages disparus. Et on imagine que la tentation sera grande du côté de Marvel, alors que le lancement de la Phase V opéré avec Ant-Man 3 a des allures de faux départ. Il est question d’une nouvelle génération qui passe au premier plan Mais le producteur Stephen Broussard a récemment écarté la possibilité d’un retour de Robert Downey Jr. : “L’un des méta-récits de la Phase IV tournait autour des nouveaux personnages. De nouvelles personnes qui enfilent de la cape”, a-t-il déclaré à io9 en février dernier. “Vous voyez, par exemple, que Cassie [Lang] a un costume [dans Ant-Man 3], [l’arrivée de] Kate Bishop [dans Hawkeye], ou des nouveaux personnage introduits, comme Jack dans Werewolf by Night.” “Des passages de témoins ont lieu après ces dix premières années de récit Marvel, comme le fait que Robert Downey Jr. ne fasse plus partie de nos plans, ou de choses de ce style. Il est question d’une nouvelle génération qui passe au premier plan, ce qui, encore une fois, s’est toujours produit dans les comic books.” Au sein d’un univers partagé où les scénaristes et producteurs ont du mal à faire mourir leurs personnages, on appréciera ces propos qui, s’ils risquent de refroidir certains fans, concernent sans doute aussi Chris Evans et Scarlett ‘Black Widow’ Johansson. Pour le moment en tout cas, car les choses peuvent très vite changer. En attendant, et faute de Tony Stark, le rôle d’Iron Man sera tenu par Riri Williams. Découverte dans Black Panther : Wakanda Forever sous les traits de Dominique Thorne, la jeune femme sera ensuite au cœur de sa propre série, Ironheart, surnom de l’héroïne lorsqu’elle porte cette armure construite sur le modèle de celle de l’ex-leader des Avengers. Sans oublier James Rhodes (Don Cheadle), alias War Machine, qui a justement étrenné son armure dans Iron Man 2 et sera de retour dans la série Secret Invasion, prévue à partir du 21 juin sur Disney+. Puis dans Armor Wars, show télévisé transformé en film qui nous racontera ce qu’il se passe lorsque la technologie crée par Tony Stark tombe entre de mauvaises mains. A défaut d’être physiquement présent, l’ombre du premier Iron Man et fer de lance du Marvel Cinematic Universe continuera de planer dessus.

Artnewspress: El director es conocido por priorizar lo real por encima de los efectos especiales aunque parezca una locura.

No es ningún secreto que Christopher Nolan y el CGI no se llevan del todo bien. El director de Origen y Dunkerque siempre ha priorizado lo real por encima de los efectos especiales cuando ha tenido la oportunidad. Incluso aunque la la escena en cuestión suena demasiado loca como para llevarse a cabo. Por ejemplo, la secuencia en la que un avión se estrella en Tenet es real.

Otra de las locuras que Nolan ha hecho a lo largo de su carrera fue con Interstellar. El drama espacial protagonizado por Matthew McConaughey, Anne Hathaway y Jessica Chastain se estrenó en cines en 2014 y fue un éxito de recaudación -más de 773 millones de dólares en todo el mundo- y de crítica.

En el futuro de Interstellar, el maíz es una parte importante en la historia. En 2067, año en el que una hambruna afecta a todo el planeta, es uno de los pocos cultivos que puede crecer con éxito.

En el guion de la película, Nolan describió un lugar: un campo de maíz y montañas en la distancia. Y había que hacerlo realidad. El director ya tenía experiencia con este cultivo, pues vio cómo Zack Snyder plantaba maíz para el escenario de la granja de la familia Kent en El Hombre de Acero, filme del que Nolan es productor. Snyder plantó 80 hectáreas. El equipo de Nolan, por su parte, plantó 200 hectáreas a las afueras de Calgary, Canadá.

El campo aparece en más de una escena en Interstellar: en una de ellas, el protagonista conduce a través de él persiguiendo un avión. En otra, se quema. Pero el campo no quedó lo suficientemente destruido tras el rodaje del filme y eso convirtió a Nolan en algo así como un granjero, pues sacaron beneficios vendiendo el maíz.

“Pasé mucho tiempo con mi diseñador los primeros días hablando sobre el maíz y cómo se vería”, contó Nolan en THR. “Afortunadamente, Zack había cultivado un montón, así que dije: ‘¿Cuánto puedes cultivar?’. Habían hecho unas 80 hectáreas, así que lo investigamos. Descubrimos que queríamos construir nuestra casa de campo muy cerca de las montañas, fuera de Calgary. Al final obtuvimos una cosecha bastante buena y, de hecho, ganamos dinero con ella”.

La nueva película de Nolan es Oppenheimer, protagonizada por Cillian Murphy en el papel del padre de la bomba atómica. También en este último proyecto ha tirado de realidad en el rodaje. El cineasta ha recreado una explosión nuclear: “Creo que recrear Trinity [nombre en clave de la primera detonación de un arma nuclear en Nuevo México] sin el uso de CGI fue un gran reto”, contó en Total Film.

Oppenheimer se estrena en cines el 21 de julio en cines. A continuación, echa un vistazo al tráiler.

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