Friday, May 10, 2024
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La mejor película para mayores de 18 años está en Disney+: un filme imposible de olvidar 24 años después

Artnewspress: Hace años ningún cinéfilo podría haber imaginado que ‘El club de la lucha’, de David Fincher, sería una cinta de culto.

Algunas películas son tan míticas que resulta difícil imaginar que, en su estreno, lo pasaron bastante mal. El club de la lucha es una de ellas. La influyente cinta de David Fincher cayó en picado después de un fin de semana de estreno razonable. El fracaso taquillero fue tal que el jefe del estudio tuvo que renunciar después de que le echaran la culpa.

Pero cualquier duda que hubiera tras su estreno y esas críticas divididas se han olvidado por completo casi 25 años después. Se encuentra en el Top 20 de las mejores películas de todos los tiempos según los datos recogidos por IMDb, además de que medios como TotalFilm la consideran la mejor película de la historia.

El club de la lucha se considera un golpe de genialidad entretenido, elegante y brutal que sigue siendo tan relevante ahora como lo era en 1999, año de su estreno. En caso de que quieras volver a ella o descubrirla por primera vez, debes saber que puedes verla en Disney+.

De qué va ‘El club de la lucha’

En caso de que no conozcas nada sobre El club de la lucha, debes saber que trata sobre un hombre (Edward Norton) con insomnio que se convierte en un adicto a los grupos de terapia como modo de aliviar su dolor interno. En un vuelo de regreso tras un viaje de trabajo conoce a Tyler (Brad Pitt), un hombre con el que encaja desde el primer minuto. Después de que su piso quede destrozado por una explosión, llama a Tyler y éste le invita a quedarse en su casa.

La condición que le ha puesto Tyler es que se peleen por diversión y, aunque se muestra reacio, termina adicto a esta dosis de adrenalina. Así se forma un club regido por una serie de reglas. La primera: no hablar nunca de El club de la lucha.

Una mala reputación que eclipsó lo que Fincher quería contar

Una de las claves de El club de la lucha es que tiene una jugosa sorpresa preparada para los espectadores -no, no vamos a contar cuál es-. David Fincher, maestro del ‘thriller’, juega muy bien con las ilusiones de quién está viendo la cinta y se guarda un as bajo la manga muy efectivo. Imposible olvidar el giro de guion por mucho tiempo que pase.

Al margen de esto, El club de la lucha tuvo un profundo impacto en la sociedad, pero también fue malinterpretada. Basada en la novela de Chuck Palahniuk, fueron muchos los que vieron el relato como una crítica a los hombres débiles que no se rebelaban contra el cambio social. Muchos cinéfilos se basaron en la cinta para afianzar su masculinidad, lo que le dio muy mala reputación. Dos décadas después este debate se ha acallado y, aunque la película aún tiene una sombra de toxicidad, destaca principalmente por ser un ‘thriller’ agridulce y muy interesante.

¿Qué es lo que queda al final? El director de Perdida sabe como construir el suspense y El club de la lucha no es diferente. La atmósfera que consigue crear el cineasta aquí te persigue mucho tiempo después de haberla visto. Lo consigue a golpe de imágenes chocantes -ese porno subliminal o la violencia explícita-, pero también con un guion mordazmente divertido. La narración de Norton es otro de los elementos que construyen la esencia del filme y sin ella sería algo completamente diferente.

Además de eso, está la brillante actuación de Brad Pitt como Tyler, quien ha convertido la chaqueta de cuero, las camisas estampadas y las gafas de sol en un icono. Él, junto a Norton, encabeza esta sátira masculina que a principios de la década de los 2000 no fue comprendida y que ahora está de rabiosa actualidad.

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Alors que sa deuxième aventure solo est rediffusée sur TF1, quel est l’avenir d’Iron Man dans le Marvel Cinematic Universe ? Peut-on espérer le revoir, sous les traits de Robert Downey Jr. ou d’un autre comédien ? “Et moi je suis Iron Man” : c’est avec ces mots, qui bouclaient la boucle en faisant écho à la toute dernière réplique de sa première aventure solo, sortie onze ans plus tôt, que Robert Downey Jr. faisait ses adieux au Marvel Cinematic Universe en sacrifiant son personnage de Tony Stark à la fin d’Avengers Endgame. Un long métrage qui, en l’espace de quelques minutes, faisait perdre aux Avengers ses leaders (Tony Stark et Steve Rogers), et au MCU deux de ses personnages les plus intéressants, à qui il avait su offrir de vrais arcs narratifs. Mais leurs départs sont-ils vraiment définitifs ? Ce dimanche 16 avril, TF1 rediffuse Iron Man 2. Il s’agit certes du plus faible des trois opus de sa trilogie, et Robert Downey Jr. avait reconnu, à notre micro, que le film avait été fait dans la précipitation. Malgré ses nombreux défauts et ses méchants sous-exploités, son nouveau passage à la télévision permet de mesurer le poids de son absence dans un univers qui peine à repartir de l’avant. Et qui, multivers oblige, pourrait facilement trouver des solutions pour le faire revenir d’une manière ou d’une autre. Sous la forme d’un variant par exemple. Interprété par Robert Downey Jr. ou un autre acteur, comme le promettaient les scoopers affirmant que Tom Cruise avait tourné un caméo dans l’armure d’un Iron Man alternatif pour les besoins de Doctor Strange in the Multiverse of Madness, ce qui était totalement faux. Il a depuis été annoncé que le sixième Avengers s’inspirerait de l’événement Secret Wars, qui fait entrer plusieurs univers en collision et multiplie les possibilités scénaristiques pour faire revenir des personnages disparus. Et on imagine que la tentation sera grande du côté de Marvel, alors que le lancement de la Phase V opéré avec Ant-Man 3 a des allures de faux départ. Il est question d’une nouvelle génération qui passe au premier plan Mais le producteur Stephen Broussard a récemment écarté la possibilité d’un retour de Robert Downey Jr. : “L’un des méta-récits de la Phase IV tournait autour des nouveaux personnages. De nouvelles personnes qui enfilent de la cape”, a-t-il déclaré à io9 en février dernier. “Vous voyez, par exemple, que Cassie [Lang] a un costume [dans Ant-Man 3], [l’arrivée de] Kate Bishop [dans Hawkeye], ou des nouveaux personnage introduits, comme Jack dans Werewolf by Night.” “Des passages de témoins ont lieu après ces dix premières années de récit Marvel, comme le fait que Robert Downey Jr. ne fasse plus partie de nos plans, ou de choses de ce style. Il est question d’une nouvelle génération qui passe au premier plan, ce qui, encore une fois, s’est toujours produit dans les comic books.” Au sein d’un univers partagé où les scénaristes et producteurs ont du mal à faire mourir leurs personnages, on appréciera ces propos qui, s’ils risquent de refroidir certains fans, concernent sans doute aussi Chris Evans et Scarlett ‘Black Widow’ Johansson. Pour le moment en tout cas, car les choses peuvent très vite changer. En attendant, et faute de Tony Stark, le rôle d’Iron Man sera tenu par Riri Williams. Découverte dans Black Panther : Wakanda Forever sous les traits de Dominique Thorne, la jeune femme sera ensuite au cœur de sa propre série, Ironheart, surnom de l’héroïne lorsqu’elle porte cette armure construite sur le modèle de celle de l’ex-leader des Avengers. Sans oublier James Rhodes (Don Cheadle), alias War Machine, qui a justement étrenné son armure dans Iron Man 2 et sera de retour dans la série Secret Invasion, prévue à partir du 21 juin sur Disney+. Puis dans Armor Wars, show télévisé transformé en film qui nous racontera ce qu’il se passe lorsque la technologie crée par Tony Stark tombe entre de mauvaises mains. A défaut d’être physiquement présent, l’ombre du premier Iron Man et fer de lance du Marvel Cinematic Universe continuera de planer dessus.
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