Artnewspress: France 3 diffuse ce soir “Meurtres à Porquerolles”, avec Charlie Bruneau (“En Famille”), François Vincentelli, Nicole Calfan, et Chrystelle Labaude (“Un Si Grand Soleil”). Ce nouvel opus de la collection policière à succès mérite-t-il le détour ?
Le corps sans vie d’une femme de 60 ans est découvert sur la plage de l’Alycastre à Porquerolles. Elisabeth Carlson était une artiste peintre et une figure e l’île. Son corps gisant au pied de la falaise évoque la Lycastre, le fameux dragon de la légende qui a donné́ son nom à la baie.
Arnaud Taillard, le très sérieux substitut du procureur, lui-même enfant du pays, va devoir mener l’enquête avec Charlie Buczkowski, une fantasque commandante de police fraichement mutée de Seine Saint-Denis.
Meurtres à Porquerolles, réalisé par Delphine Lemoine et écrit par Pierre Lacan et Anne-Charlotte Kassab.
Avec Charlie Bruneau, François Vincentelli, Nicole Calfan, Didier Flamand, Chrystelle Labaude, …
Samedi 7 mai à 21h10 sur France 3
Selon Télé Z :
“Le duo Bruneau/Vincentelli séduit d’entrée dans ce huis clos insulaire, sombre et émouvant, qui s’appuie sur un casting de qualité.” 3,5/5
Selon Le Parisien :
“Vincentelli et Bruneau forment un tandem assorti au cadre idyllique. (…) Une histoire tranquille comme une brise de mer avec des développements attendus ou entendus, des virages inattendus, et un mystère heureusement préservé jusqu’au terme des investigations.” 3,5/5
Selon Télé 7 Jours :
“Charlie Bruneau et François Vincentelli jouent les commandant et juge avec crédibilité pour les besoins de l’enquête… Le tandem, aussi inédit que surprenant fait mouche ! Et quel plaisir de retrouver les comédiens Nicole Calfan et Didier Flamand.” 3/5
Selon Télé Câble Sat :
“L’enquête tient en haleine et divertit. La distribution est impeccable. Les superbes décors naturels sont très bien mis en valeur. Une bonne cuvée de cette collection !” 3/5
Selon Télérama :
“Cousue de fil blanc, l’intrigue criminelle se déroule en pilote automatique, et c’est plutôt dans ses connotations sociétales que le téléfilm trouve un intérêt ténu.” 2/5
Jérémie Dunand
